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Sofia Olsen

Sofia Olsen


Messages : 3


» sofia « Empty
MessageSujet: » sofia « » sofia « Icon_minitimeMar 15 Mar - 15:50




SOFIA “CANDY” OLSEN



ft Jessica Alba
» sofia « Qhbq

« Stronger than lover's love is lover's hate.
Incurable, in each, the wounds they make. »

rescapée ; nouvelle



» Curiculum Vitae «
Au sein de cet hôpital, j'ai eu l'inélégance de mettre au monde un fils. Déchirée par des douleurs m'ayant précipitée au seuil de la mort, j'ai été sauvée par la volonté ardente d'aimer et d'être aimée encore. J'y ai fait soigner les plaies que m'ont infligée les corps des autres, récipiendaires de mes impulsifs désirs de les faire taire. J'y ai, enfant, accompagné mon frère. J'y ai été l'impératrice de mes fautes et l'esclave des autres ; je m'y suis montrée cacophonique avant que ne me reprennent les mains de Charlie et que j'enfante d'une symphonie.


» Son histoire «

D’aussi loin que je me souvienne, mes os ont toujours été couverts de pactes et de promesses. J’ai signé de ma voix, de mon encre ou de mon sang des contrats avec le minable, les cieux et leur diable. Et lorsque j’erre dans les limbes, cherchant ma raison à tâtons tandis qu’elle agonise et que le néant absorbe mes phalanges me reviennent les points cardinaux à l’origine de mes plus infimes déchéances.

J’ai promis à ma mère de veiller sur cet enfant comme s’il était lui aussi sorti de son ventre. J’ai maudit son petit crâne fragile et ses yeux froids comme la mort. J’ai abhorré sa venue m’arrachant d’emblée la moitié de leur attention sans chaleur. J’ai détesté leurs aveux m’expliquant l’origine de son arrivée à la maison. « Sofia, tu n’étais pas bienvenue au monde. Quels genres d’irresponsables amènent un enfant dans ce triste environnement ? Nous t’avons gardée mais il nous faut maintenant équilibrer la balance. Donner à un autre enfant sa chance. » et Roman a eu sa propre chambre, ses murs collés aux miens pour ne rien me cacher de ses cris de mort la faim. Nos parents, leur unique volonté rompue par une monomanie intellectuelle, nous ont élevé jusqu’à ne plus en partager l’envie. Teintés de leur éternelle pudeur insatisfaite, ils se sont quittés avec élégance. Ils ont fermé sans bruit les portes de notre enfance, divisant tout du sol au plafond. Si bien, d’ailleurs, qu’ils se sont même réparti leurs enfants. Roman a quitté le pays avec notre père pour grandir loin de mes promesses désormais férocement scellées autour de son ventre. Je suis restée auprès de notre mère qui m’a bâtie à son image, arrachant mes contours au burin, me façonnant avec douleur pour la réussite. Les contacts rompus avec mon petit frère furent parsemés d’intermittence. Quelques dates durant lesquelles sa voix eut le droit de trouver la mienne, faisant dessécher l’encre puisée au fond de mon cœur martyrisé par leur courtoisie sans défaut. J’ai pleuré, pour la première fois depuis toujours, à me voir arracher celui qu’ils m’avaient choisi. Une gifle plus tard, j’essuyais mes dernières larmes. Et je titubais sans égard sur les deux simples lignes du contrat que nous avions suspendu entre lui et  moi : Veiller l’un sur l’autre, quoi qu’il en coute. Ne jamais avoir d’enfant, nous en ferions des monstres.

J’ai juré ne pas avoir l’indécence de suivre l’allure des autres. J’ai griffé mon intelligence à violer sa cadence, l’ai engorgée d’études afin qu’elle gonfle. J’ai pris de l’avance sur mon curriculum, ai suivi un chemin cabossé en apprenant que Roman en faisant de même, de son côté. Main dans la main, un océan immuablement rivé entre nos adolescences, nous avons appris des verdicts similaires encrant des termes inqualifiables sur nos comportements étranges. J’ai été diplômée plus jeune que les carcasses jonchant le reste de ma promotion. Tous les figurants du monde achevèrent de paver la route de ma terrifiante réalité où ont été cautérisées mes émotions. Pourrissant sous les pieds d’une abomination, chacun de mes sentiments foulé par ces obsessions a puisé dans mon âme la même noirceur qui pondère les yeux des fous. J’ai choisi de remplir mon crâne de leurs idéologies du management, tandis qu’on commençait à photographier le reste de mon corps sous tous les angles. J’ai concilié ces deux vies chacune ahurie par l’autre, marchandée comme une esclave entre les papiers et les amphithéâtres où j’apprenais à gérer ma propre image. Elle prit une allure nouvelle le matin où furent placardées par centaines des photos de moi parues la veille. Des clichés virtuoses où mon corps jeune posait à moitié nu pour vendre une marque dont le nom tapissait le décor. Sur chacune d’elle avait été ajouté un poème. « Dumb whore. » Et c’est en suivant sa voix moqueuse. Sous les sifflets railleurs. Sous leurs yeux avides et curieux, que je suis allée trouver l’étudiante à l’origine de mon emblème. Quelques douces insultes passèrent la barrière de ses lèvres. Ses amies en bannière, leur attitude hardie par la force du nombre. Elle s’est levée, défaisant ses longues jambes, quand j’ai approchée. Une provocation au bout de ses bras tendus, elle parlait, quand j’ai enroulé ma main droite sur la longueur de ses cheveux étincelants. Promener son corps jusqu’à l’arbre le plus proche fut d’une aisance surprenante. J’ai brutalement approché ma paume de son écorce, sa tête posée par contrainte sur les lignes de ma main. Le bruit de chair et os rompus par le choc fut perceptible de tous. Son cri de douleur sert encore d’apostrophe à mes violentes promesses lorsqu’elles parsèment mes désirs impatients. Agenouillée auprès de son visage tuméfié, je lui confiais adorer son idée. Mon nouvel insigne. Je le fis imprimer sur un marcel noir. Dumb whore. Je l’ai porté souvent. Comme un étendard, un trésor, un drapeau offert au vent. Je le porte encore.

J’ai certifié ne pas renier le parjure qu’ils ont plus tard accroché à mon nom. Candy. J’ai pensé à mon frère en le lisant pour la toute première fois, immortellement glacé sur le papier froid. Un foutu bonbon. Et tous se sont mis à farouchement ignorer mon baptême. La populaire étincelle a pris flamme en cramant jusqu’à mon prénom. Candy-O. On la croirait bonne, mais elle est dangereuse pour vos dents. Certains ont compté, suivant le palmarès. D’autres ont essayé de river de force un titre à leur trouvaille. Queen Candy. Une véritable reine pour les couronnes, du pain béni pour les dentistes. J’en aurais ri, si j’avais su faire. J’étais devenue la chienne des médias, mon diplôme en poche. J’étais réduite à ma chair de miel et ma tête aux impulsions cruelles, tous ces dangereux caprices qui souvent m’amendent. Ils se sont relayés, m’ont battue à s’en rompre les nerfs dans tous les formats. Ils se sont divisés, se faisant tour à tour l’avocat et le condamnateur de mes vices immuablement sinueux, cachés sous le fard et les poudres qu’eux, comme moi, rivent sur mon visage sans âme.

J’ai scellé mon premier pacte avec la mort et le temps, un matin de Décembre. Je me suis sentie pour la première fois éventrée par un sentiment venu d’autre part. J’ai invoqué tout ce que les ténèbres, les anges et leur immortel néant avaient su épaissir dans ma macabre poitrine ; leur ai confié avoir besoin du vide. Un brin d’espace imploré par mes songes anéantis par une vision impossible. Celle d’un homme détruit, impudique, déversant son cœur en public, terrassé par une douleur déchirant à ce point son existence qu’il dut s’épandre là, sans force, sans fierté… sans mal.
J’ai laissé gracieusement tomber mon corps auprès du sien. Il sentait la cigarette, le savon et toute la misère du monde. Son odeur m’attirait terriblement. Je m’en suis approchée, penchée sur son torse torturé de sanglots. Lorsqu’il a levé ses yeux sur les miens, j’ai eu la sensation d’y voir le premier homme au monde. La plus pure et seule parfaite création d’un univers qui depuis a jeté les clés de son secret aux loups. « … Pardon ? » fut son premier mot. Je détournais mon regard, le lançais par-dessus son épaule. « Ne faites pas attention à moi. » Il retint son souffle, je murmurais quelque chose d’imperceptible. « Qu'est-ce que vous faites ? » Sa voix empreinte de sincérité, bien que rendue triste par quelques horreurs trainant dans son crâne, me fit un bien fou. « Je fais seulement semblant de vous parler. » Je fis un geste de la main, l’intimant de vaquer à ses fascinantes occupations. J’aurais vendu ma mère pour avoir la chance de ressentir une bribe de ses émotions. Pouvoir être à son image et sentir quoi que ce soit si profondément que mes corps et esprit n’auraient plus su le contenir. Mais encore, j’aurais vendu ma mère pour un tic tac. Ses yeux au fond des miens annoncèrent avant le reste la grave cassure dans sa voix. « Pourquoi ? » J’eus un frisson que mes vêtements chauds camouflaient. « Pour que vous ayez l'air un peu moins dérangé. » L’authenticité de sa surprise nous interloqua tous les deux. Je pris mon temps, méditant sur son visage trimbalé d’émotion en émotion, mais demeurant constamment beau. « Bébé, regarde autour de toi. Un homme qui pleure seul sur son banc au milieu de Central Park. Les gens te prennent soit pour un fou, soit pour un demeuré. Ils cachent leurs enfants, ils ont même sûrement peur pour leurs foutus écureuils. » Il n’obéit pas, ne me quittant pas du regard. « Mais, avec quelqu'un à tes côtés, ils se diront plutôt que tu as chopé un cancer ou une merde dans ce genre. Ils auront pitié, ils t'aimeront tout de suite. Ce sera une sorte de sympathie au premier regard. » Il se mit à trouver ses mains parfaitement captivantes. Je lui donnais raison, imaginant sans peine l’une d’entre elle serrée autour de ma nuque. À son image, ses mains avaient l’air de revenir de loin. D’une infinie douceur, elles avaient été battues à la soumission par un je ne sais quoi qui n’en finissait plus d’obséder mon entière existence. « T’es une sorte de psy ? » il finit par demander. Je soufflais pour ne pas rire. S’il savait ! J’étais la pire connerie issue des contradictions du monde, une maladie, une abomination. Je lui tendais un mouchoir en tissu pour ne pas répondre. « Tiens. » Et il le prit d’une de ses belles mains tremblantes. J’aurais voulu en serrer une et la garder entre les miennes, tenter d’y trouver un indice capable de m’instruire. « C’est du sang ? » J’arquais un sourcil. Oh. « Oui. Mais pas le mien. » Il n’en fit rien et je sondais sans pudeur ses traits endoloris et las. Ses lèvres épaisses où disparaissait un bleu. Ses joues creuses. Sa mâchoire mal rasée, serrée à rompre. Ses cernes brunis par la peine. « C’est toi qui a un cancer. » Il déclara de nulle part. « Quoi ? » Il se délesta d’un souffle si chargé que j’eus l’impression d’y entendre de la musique. « Si j'étais un passant et que je nous voyais, là, je me dirais que c'est toi qu'on vient juste de diagnostiquer. » Je me penchais pour récupérer ses yeux, surprise. « C’est toi qui pleure, chéri. » Il me regarda fermement. « Oui, justement. » Et je levais un premier voile sur ma belle énigme.
« Parfait, j'ai un cancer. Alors j'imagine que je suis en train de nous faire rompre. » Il parut plus blessé qu’il ne l’était déjà. « Pourquoi tu ferais ça ? » J’hochais les épaules. « Pour aller me finir quelque part en silence. Avorter du suspens. » Nous épargner à tous deux le déluge. « Et c'est probablement dur pour toi, c'est comme me perdre par deux fois. » Un éclair déchirant vint troubler son regard à ce précis instant et il le fit se briser au sol. Il ne me regardait plus. Il m’évitait le déluge. « C'est ce qu'il t'est arrivé quand tu m'as vu, la sympathie au premier regard ? » Je soufflais ce qu’un autre aurait pu prendre pour de l’amusement. « Wow. » Si j’avais pu avoir un doute, il n’était plus. « Tu ne me connais vraiment pas. » Il revint à moi, presque désolé. « Je devrais ? » « Non. » Au contraire. « Je dirais bien "Tu t'en sors mieux sans moi" mais... hé. » je montrais son état de ma main et lui arrachais une réaction qui tira, rien qu’une seconde, le coin de sa bouche. Il sortit ses cigarettes d’un sac en papier où j’aperçus une carte pour cabine téléphonique et un téléphone vieux d’un siècle. Mêmes ses clopes ne se vendaient plus depuis près de trois ans. « Bordel ! Tu as passé les trois dernières années dans une cave ou tu sors juste de la boutique de Marty McFly ? » Il sourit. Il sourit et je me sentis comme intimée à genoux de le servir et d’en endurer le plaisir. « J’étais… » Il devait chercher le mot juste. « J’étais détenu. Je suis désolé. » Pour la deuxième fois, sa voix fut brisée, trainant un fantôme qui lui coutait cher. J’allumais sa cigarette. « Jusqu’aujourd’hui ? » J’aurais voulu le photographier, avant qu’il n’acquiesce. « Et ce n’est pas censé être un jour heureux ? » Je m’enfonçais plus profondément dans le labyrinthe que dessinaient pour moi ses larmes, sa voix, ses yeux et son attitude que j’aurais aimé posséder pour les garder jalousement. Et désespérément essayer de le comprendre. « J'en sais rien. Je sais pas quoi faire, où aller, ni même comment me sentir. » Je suivais son regard posé sur les passants. « Hé, au moins tu n’as pas de cancer. » Il rit d’un rire fatigué et innocent. J’eus la soudaine et effrayante sensation d’être à sa merci complète. Sa chose. Sa bête. « Merci. » dit-il pour ne rien arranger, sincère. « Errh. Où est-ce que tu vis ? » J’eus l’impression qu’il se griffait la langue. « Il y a ce Centre. » et avec le reste, il prit ses distances « Pour me réhabiliter à la vie en société. » Les mots lui déplaisaient. « Des conneries. » La société. Quelle horreur. C’est de loin notre pire invention. « T’as déjà assez vécu en communauté, non ? » Il toucha ses lèvres doucement. « C’est pas comme si j’avais le choix. » « On a toujours le choix. » Je tirais sans méditation sur une des cartes rangées dans la poche de mon sac. Elle était noire. Ne s’y trouvaient que mes initiales d’argent au devant, et une adresse au dos. « Je connais quelqu’un. Tu n’auras qu’à leur donner ça. » Il la prit de ses longs doigts devenus calmes. Me prit l’envie de le fuir avant qu’il ne soit trop tard. « C’est quoi, cet endroit ? » Il s’agissait d’un hôtel privé devant des faveurs à des femmes telles que moi, pourrissant à la lumière. « Un lieu sûr, à l’abri des regards. » S’y rendaient les modèles pour y soigner discrètement leurs déviances en tout genre. Il lut les lignes plusieurs fois. Acquiesça. J’eus envie de me taire. De ne plus jamais le revoir. J’eus le désir ardent de l’épargner. Mais je ne le fis pas. « Je passerai, si j’ai envie de compagnie. » Il fronça les sourcils avec douceur. « Pourquoi est-ce que tu fais tout ça pour moi ? » Je me redressais. « Je suis intriguée. » Et me relevais. « Mais je dois partir, je ne suis jamais en retard. » Il se leva aussi, gracile, immense, poli. « Merci. » J’absorbais les contours de son visage que je voyais pour la dernière fois. « Tu l’as déjà dit. » Et m’en allais avant de céder pour de bon. Sa voix s’éleva, toujours aussi grave, ayant un impact sincère sur tous mes sens. « Et si c’est moi qui ai envie de compagnie ? » Je ne me retournais pas, ne me faisant pas confiance. Si jamais je le revoyais… n’en resterait plus rien. Je pourrais tout aussi bien lui crever la panse. « Adopte un chien. »

Et j’ai depuis soumis mes promesses et résolutions à d’infinies tortures. J’ai jeté au vide, comme tant d’offrandes, tous les pactes qui m’encombrent. J’ai égaré en chemin les promesses faites à mon frère sur lequel je n’ai plus posé les yeux depuis des années. J’ai enfanté une créature aux essences d’ange et de démon. Et chaque jour depuis sa naissance m’effraie cet odieux mélange. Je crains qu’il me ressemble. Alors j’encourage férocement ses nouvelles influences, l’entourant d’une famille magnifique, cousue à la nôtre par les mains de Charlie qui, à défaut de trembler, s’occupent de mon corps et de musique. Je le cache à la mère qui a fait de moi l’engeance des ombres. Je ne garde qu’un pacte, un contrat et sa vieille apostrophe, signé sans douleur, plus par mon sang mais toutes les larmes qu’a retenu mon cœur : être sienne, jusqu’à la fin des temps.

» Liens & Accointances «

Burton, Charlie × Mon amour pour lui est une fascination ayant pris feu. Et l'incendie s’accroit au fil des ans, me consumant entière sous son cœur obstiné à voir en moi celle que j'essaie d'être pour lui plaire, à m'en faire mal. Il m'aime et je me suis si longtemps demandé pourquoi que la raison a fini par s'enflammer elle aussi, en musique.

Olsen-Burton, Aaron × Certainement ma seule véritable réussite. Ma rébellion, que j'ai eu le mauvais goût d'apporter dans un monde si laid qu'il m'effraie encore. J'ai peur qu'il grandisse à mon image et se calque sur mon modèle plutôt que celui de son père, absolument parfait.

Olsen, Roman × Il est mon pendant masculin, la seule raison qui me rend fière du nom qui m'a rendue célèbre. Nos échanges millénaires me semblent parfois avoir précédé la création du temps, il m'appartient de veiller sur son crâne jamais à l'abri d'une pulsion auto-destructrice.

Wallace, Ashley × Elle a été une véritable mère pour mon fils durant ses deux premiers jours au monde. Je lui en serai éternellement reconnaissante. Son infinie bonté m'impressionne et j'ai à cœur de trouver dans mon reflet celui que me renvoient ses yeux quand ils me contemplent.

Porter, Wade × Il est étrange de penser qu'il n'était qu'un inconnu quand il a bravé la mort, qu'il a tordu la nature et fait s'enrager le temps au point de pouvoir les convaincre de me rendre au monde. Je lui dois la vie, et je lui dois mon fils. Son courage terrible et sa constante douceur sont un refuge qu'admire ma jeune gratitude.

Riverock, Benjamin × Nos reflets, intervertis, se répondaient, se comprenaient et se sont aimés. J'avais, auprès de lui, trouvé une sérénité dérangée par nos esprits trop semblables pour rester sains.

Wallace, Oliver × Il est celui qui accepte le plus facilement les éclats sombres de mon visage. Un ami véritable, qui sait se faire comprendre de mon langage et que je suis fière d'avoir côtoyé durant les prologues de nos réussites respectives.

Stanford, Sahara × Dressée part l'art du prétendre, j'ai enfoui suffisamment de douleur en moi pour reconnaitre la détresse qui gouverne son regard ennuyé par le monde. Elle est peut-être ma chance de faire du bien, un peu d'espoir.

Wallace, Jonathan × Je modèle ma maternité sur son exemple. Il sait être père et homme à la fois, mariant l’exquis à l'irrésistible dans un parfait équilibre. Il est celui que mon Charlie affectionne plus qu'aucun autre. Impressionnant, il me parait être immortel.

Wallace, Madison × Son âge s'adresse à mon ventre et la voir grandir éveille en moi une curiosité malade et bien étrange sur laquelle je ne pose aucun nom, ni même aucune passion. Elle est l'adorable cadette dont, peu importe les phases, le béguin pour Charlie reste constant.

Wallace, Kieran × De tous les Wallace celui que je connais le moins, croisant plus rarement son chemin. Il semble s'épanouir dans la poursuite d'autres horizons et manque à sa famille lorsqu'il les délaisse.

Wallace, Jimmy × Le dernier des garçons me tape sur le système, bien que nos humours se comprennent. Il est grinçant dans un clan qui n'appelle pourtant qu'à la gentillesse. Me prend l'envie de le calmer dès qu'il blesse sa sœur, mais je connais ma place.

Wallace, Alexander × La bravoure et la générosité se sont penchées sur son berceau. Il est la figure paternelle dont Charlie et moi avons toujours manqué, l'un désespérément, l'autre sans l'avouer. Je l'aime plus que je n'aurais osé le penser.

le Chien × Il m'a écoutée et a choisi d'adopter un chien à son image : abusé, triste, abandonné. Tous deux se sont reconstruits en scellant une amitié aussi forte que le fut mon cœur de pierre. Il fait partie intégrante de notre famille.

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Ashley Wallace

Ashley Wallace


Messages : 140


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MessageSujet: Re: » sofia « » sofia « Icon_minitimeMer 16 Mar - 13:25

Sofia "Candy" Olsen, j'adore ^^
J'ai tellement hâte de lire sa présentation !
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» sofia «

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