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Sahara Stanford

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Sahara Stanford

Sahara Stanford


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MessageSujet: Sahara Stanford Sahara Stanford Icon_minitimeMar 22 Mar - 22:43




Sahara “Sara” Stanford



ft Erin Moriarty
Sahara Stanford Ta5u

« Je donnerais tous les paysages du monde pour celui de mon enfance.»
rescapé ; nouveau



» Carnet de santé «
Je ne me suis rendue dans cet hôpital que deux fois, mais elles ont changé ma vie pour toujours. C'est là qu'on m'a appris que j'étais enceinte. C'est aussi là que j'ai remédié à ça. C'est cet hôpital qui a été témoin du jour où j'ai gagné puis perdue toute une partie de moi.


» Son histoire «

Un jour, j’avais six ans. On m’a dit que la danse classique, c’était parfait pour les princesses gracieuses dans mon genre. Il n’en a pas fallu plus pour que je décide que la danse était ma passion et que j’harcèle mes parents pour en faire. Ma mère a accepté tout de suite, mais à une condition : Que je devienne la meilleure danseuse étoile d’Amérique. Elle m’a poussée jusqu’à ce que je fasse tourner ma vie autour de ce rêve. Son rêve, qui s’était implanté dans mon esprit au point que j’en ai fait le mien. La danse était devenue la chose la plus importante au monde. Je m'entraînais tous les jours. Le matin, le soir, dans ma cave, dans ma rue, dans ma chambre, sous le soleil et sous la neige. Mon père n’aimait pas l’ardeur que j’y mettais, disant que c’était trop pour une enfant de mon âge, mais il n’a jamais empêché ma mère de me presser et de me stimuler.

Un jour, j’avais neuf ans. Ma mère m’a dit que j’étais une bonne à rien, parce que je m’étais blessée. Je ne faisais jamais les choses bien et n’étais jamais assez douée. Je gagnais des médailles d’or aux concours auxquels je participais, avait de bonnes notes à l’école. Mais je n’étais pas parfaite, donc ça lui déplaisait. Elle m’a dit que j’étais une cause perdue et à arrêté de me pousser. Et peu importe l’ardeur que je mettais à retrouver ses faveurs, rien ne fonctionnait. Donc j’ai abandonné l’idée de lui plaire et me suis tournée vers mon père, bien moins exigeant. Il a toujours aimé la moindre des choses que je faisais, même s’il était rarement là pour les voir. Il travaillait dur, pour plaire à ma mère, lui aussi. Mais tout comme moi, il avait du mal à la contenter. Je m’en rendais bien compte, et j’ai commencé à ressentir de l’antipathie pour cette femme qui n’était jamais contente et qui faisait souffrir mon père. Je me suis détourné d’elle, et me suis plongée vers ce rêve qui avait grandi en moi et n’appartenait plus à personne d’autre. Elle n’y croyait plus, mais moi, je le savais : j’étais née pour danser.

Un jour, j’avais treize ans. Mon père m’a dit que je devais obéir à ma mère et être sage. Elle quittait le Minnesota sans mon père et avait décidé de m’emmener avec elle. Je savais que c’était plus par esprit de compétition qu’autre chose, qu’elle s’était battue pour obtenir ma garde, et je lui en voulais de ne pas m’avoir laissée vivre avec un parent qui m’aimait. On est partie en Californie et ma mère s’est remariée avec un homme riche, qu’elle n’aimait pas mais qui cédait à tout ses caprices aussi. De mon côté, j’ai décidé de lui faire payer. J’ai commencé à me rebeller et à haïr tout ce qu’elle représentait. J’avais alors oublié depuis longtemps que c’était elle qui m’avait poussée à rêver de devenir la meilleure danseuse étoile qui n’avait jamais existée et ne trouvait du plaisir que lorsque je me mouvais en musique. Je n’avais pas le droit de voir mon père, donc il m’avait donné sa veste en cuir avant que je ne parte. Je la portais tout le temps.

Un jour, j’avais quinze ans. Ma mère m’a dit d’aller voir ailleurs si elle y était et m’a envoyée en pensionnat près de Boston. Elle préférait ça à l’idée de me renvoyer auprès de mon père. Elle m’a dit qu’elle refusait de me donner ce plaisir, car je ne le méritais pas. J’étais alors devenue une véritable peste qui contredisait tout ce qu’on lui disait, car j’avais pris l’habitude de ne jamais être d’accord avec ma mère. J’étais en colère contre tout le monde, car tout le monde écoutait ma mère. Je n’avais même plus envie de l’appeler “Maman”. Je l’appelais Sandy, et je la détestais. Donc quand je suis arrivée au pensionnat, les profs ne m’aimaient pas. J’étais insolente, voulait toujours avoir raison et n’écoutait rien des conseils qu’ils me donnaient. Ils m’ont dit que j’étais une cause perdue, et ne s’intéressaient que très peu  à mon cas. J’avais l’habitude, ça ne me déphasait pas.

Un jour, j’avais quinze ans et demi. On m’a dit de ne pas embêter le nouveau professeur de littérature. Il avait des yeux magnifiques et une voix douce comme le miel, qui me faisait un peu penser à celle de mon père. Il s’appelait Dawson Sanders et c’était la seule personne au monde que je n’ai pas réussi à détester d’emblée. Il y avait désormais deux choses qui me donnaient du plaisir : la danse, et le regarder. Ca m’a fait flippé. Il ne me connaissait pas, donc il est rapidement devenu la seule personne à s’intéresser à ce que je faisais, à ce que je disais. J’avais perdu cette habitude, ça ne me plaisait pas. J’ai donc décidé d’être son pire cauchemar sur Terre, jusqu’à en devenir le mien. Mais ça ne l’a pas fait fuir. Au contraire, il répliquait et je suis vite devenue droguée à nos confrontations. Il me fallait ma dose, tous les jours, ça me rendait vivante. Jusqu’au soir où tout a basculé. On s’est rencontré un soir dans les couloirs de l’internat, alors que je venais de faire le mur. Ca a commencé comme ça commence toujours, mais ça s’est fini dans sa chambre. Je me rappelle de tous les détails, encore aujourd’hui. Comment on s’est mutuellement attaqué, comment j’ai enlevé ma veste pour la faire tomber à ses pieds, pour le provoquer. Comment je suis partie en colère, après certaines paroles mal placée, des deux côtés. Comment j’ai frappé à sa porte, plus tard, car j’avais oublié ma veste. Comment on s’est embrassé, comment il m’a dit qu’il avait envie de moi. Comment j’ai fini par lui donner ce qu’il voulait. Comment je suis partie, le lendemain matin, en laissant un mot sur sa table de chevet. Comment il m’a abandonnée.

Un jour, j’avais seize ans. Ashley m’a dit de faire comme chez moi, quand je suis arrivée chez elle. J’avais fui l’internat pour ne plus revoir celui devant qui j’avais baissé ma garde. Ma mère ne voulait pas de moi, mon père n’avait pas le temps, il ne me restait plus que cette option-là. New York, ses quelques millions d’habitants et mon rêve qui se profilait dans un de ces coins de rues, La Juilliard. Berceau d’une famille que je ne connaissais que trop peu mais que j’avais eu le droit de visiter, à quelques occasions, durant mon enfance. J’ai voulu y refaire ma vie loin de mon passé, m’interdisant de m’attacher à qui que ce soit, me promettant que je m'octroierai ma liberté dans un peu plus d'un an. Je regardais la Juilliard, y préparait mon entrée… Puis tout a basculé. Un hasard a voulu que dans cette ville de quelques millions d’habitants, je retrouve Dawson dans mon lycée. Il ne m’avait même pas suivie, il était aussi choqué que moi. Mais j’ai laissé la colère me guider et avant même que je ne puisse m’en rendre compte, je suis retombée dans ses bras. J’ai baissé ma garde une seconde fois, et ai commencé à croire que je valais quelque chose, aux yeux des gens. L’insistance d’Ashley à vouloir que je fasse partie de sa vie a eu raison de moi, j’ai fini par penser que j’avais raison d’être là, que je n’étais pas une cause perdue pour les autres, que je pouvais faire les choses bien. J’ai intégré la famille Wallace avec entrain. J’avais tout, l’Amour de Dawson, celui d’Ashley, d’oncle Alex, de Jo, d’Oliver, de Jimmy J’essayais même de plaire à Charlie et Sofia, qu’ils voient qu’Ashley avait raison de croire en moi. J’avais toutes les cartes en main pour réussir, j’avais un avenir. J’étais heureuse, vraiment heureuse, pour la première fois en huit ans.

Mais un jour, j’avais presque dix-sept ans. On m’a dit que j’étais enceinte de Dawson. J’avais deux choix : être mère et en vouloir pour toujours à mon enfant d’avoir détruit mon avenir, mon rêve de devenir danseuse étoile, lui dire qu’il était un bon à rien et une cause perdue. Ou faire comme s’il n’y avait pas de bébé. J’ai choisi la deuxième solution. Et m’en suis voulue à ne plus savoir quoi faire de ma vie. J’ai commencé à croire que ma mère avait raison, que j’étais une cause perdue. J’étais pire que ça, même, j’étais un monstre. J’ai refusé les séances chez le spy qu’on m’a proposé après mon avortement. Je n’arrive pas à me dire que je mérite d’aller mieux, je n’arrive pas à accepter l’idée que je puisse avoir le droit de me regarder dans un miroir. Je n’arrive pas à accepter qu’on me dise de penser à mon avenir. Parce que je l’ai fait, et que ça m’a conduit à m’arracher une vie du creux de mon ventre. J’ai quitté Dawson, il méritait mieux que ça.

Il aurait voulu le garder, le môme. Normal, il va avoir trente ans, à trente ans, on en veut, des gosses. On se sent prêt. Pas à dix-sept ans. Nous n'avons pas les mêmes attentes, et je ne voulais pas le priver des siennes. Il avait raison, quand il m'a quittée la première fois, il m'a juste fallu du temps pour le comprendre. Le temps de me faire avorter. Putain, je déteste ce mot. Je ne veux pas être ce genre de femme. Mais je ne suis pas une femme, je suis une enfant. Ma mère était plus vieille que moi, quand elle m'a eue, et pourtant, c'est une mauvaise mère. Alors je ne pouvais pas vouloir de ça.

Il l'a mal pris, il ne savait pas. Je ne lui ai pas dit pourquoi je paniquais. Il s'est sûrement dit que je ne savais pas ce que je voulais. Mais je le savais, ce que je voulais. Je voulais danser. C'est ça que je voulais. Seulement ça. J'en ai pleuré de ne vouloir que ça, tous les soirs, dans mon lit, pendant qu'Ashley dormait. Je pleurais en silence de ne pas être capable de vouloir la même chose que Dawson, je pleurais d'avoir tué cet enfant, je pleurais d'avoir rendu sa liberté à celui que j’aimais. Je pleurais, et personne ne le savait. Et toute cette douleur, je l'ai transformée, comme je sais si bien le faire. J'en ai fait de la colère, de la rebellion. Je suis redevenue la Sahara qui fait chier. J'emmerdais tout le monde sauf ma famille et Ashley, qui avait assez de problèmes comme ça, et qui voulait être ma maman. J'ai jamais autant eu besoin d'une maman qu'à ce moment-là. Elle n'avait que six ans de plus que moi, et elle remplissait le contrat. Je me sentais seule, mais elle était là.

Bientôt, j’aurais dix-huit ans. Mais je n’entends déjà plus ce qu’on me dit. Je n’ai même plus mal. J’ai plus envie de rien. Et pour pas qu’on essaie de m’aider, je joue un rôle. Celui de celle que j’étais.

Sahara Stanford, avant de tout s’enlever, de son amour à son avenir, de ses entrailles à ses racines.

» Liens & Accointances «

Wallace, Ashley × Dire que ma cousine m'héberge ne serait pas rendre justice à tout ce qu'Ashley a fait pour moi depuis mon arrivée à New York. Je la vois essayer de m'abriter contre tous les intempéries de la vie et c'est la raison pour laquelle je me dois de la protéger de la tempête qui détruit mon adolescence comme un chateau de sable.

Wallace, Kieran × J'ai vu grandir mon cousin au fil des quelques visites que j'ai faite lorsque j'étais plus jeune. Je ne l'ai pas encore retrouvé dans cette nouvelle vie, mais j'apprends tous les jours à le connaître à travers les mots d'Ashley, qui ne tarit pas d'éloges, à son sujet.

Burton, Charlie × Parce qu'il ne me connaissait pas, j'avais à coeur de lui montrer que je valais plus que ce que ma mère pensait. Je sais qu'il ne juge pas, mais j'avais quand même la sensation de devoir faire mes preuves. Aujourd'hui, c'est ça plus que que sa proximité avec Ashley qui m'interdit de lui montrer le monstre que je suis devenue. J'ai honte de moi, et une part de moi à peur que lui ou Ashley aient honte aussi. Pourtant, je sais que je ne peux pas avoir un tel impact sur ses idées.

Olsen, Sofia × Notre relation se limite à se voir lors des barbecues en famille. Je ne sais que très peu de choses d'elle, en dehors du fait qu'elle est très appréciée dans la famille. Elle était déjà enceinte quand je suis arrivée, mais ce n'est que lorsque j'ai pris la décision de ne pas suivre son exemple que je me suis rendue compte à quel point je l'enviais. La regarder être mère me fait mal mais je n'arrive pas à détourner le regard tant ça me fascine.

Olsen-Burton, Aaron × En d'autre circonstance, je sais que cette nouvelle addition à la famille m'aurait fait plaisir, mais au jour d'aujourd'hui, j'ai mal rien qu'à le regarder exister. Je sauve les apparences pour ne pas qu'on dévoile mon secret, mais avoir à être sa baby-sitter fait de lui mon pire instrument de torture. Je le regarde être le plus adorable des bébés, en me demandant parfois si le mien aurait été aussi parfait. J'en chiale tous les soirs, après l'avoir gardé. Mais guidée par ce vide qui grandit en moi à la place de celui sur lequel j'aurais dû veiller, je ne peux m'empêcher de vouloir le protéger contre tout ce et ceux qui pourrait vouloir lui faire du mal.

Olsen, Roman × A venir.

Sanders, Dawson × J'ai cru que j'étais assez mature pour lui apporter ce dont il avait besoin, j'ai cru que je pouvais l'aimer plus fort que tous les obstacles qui se mettraient en travers de notre route. J'ai cru que l'âge ne compterait pas. J'ai cru avoir été en mesure d'anticiper tous les problèmes que l'on aurait pu rencontrer. J'y ai cru assez fort, et nous ai fait tomber plus bas que j'aurais pensé possible. J'avais tort de croire que je le méritais. Et je n'espère même qu'il me pardonnera un jour d'avoir essayé.

Wallace, Jonathan × Jo est tout ce que mon père n'est pas. Il est responsable et toujours présent pour sa famille et sa fille. Il n'est pas faible, il a osé se battre pour elle. Et pourtant, Jo ressemble énormément à mon père, et c'est ce qui fait que je le trouve parfait.

Wallace, Oliver × Dès mon arrivée, il m'a confrontée. Il m'a dit d'arrêter de faire l'enfant et de me tourner vers l'avenir. Il m'a dit que j'étais futée, que je pouvais réussir. Je l'ai écouté, jusqu'à ce que mon avenir se désintègre. Je ne sais plus comment lui demander de conseils, à présent.

Wallace, Alexander × Son sang ne coule pas dans mes veines, mais il a plus été un père pour moi que tous les hommes ayant peuplés ma vie. Il m'a toujours invitée pour que je vois mes cousins et ma cousine, m'a toujours fait une place dans sa famille, bien qu'il ne doive absolument rien à mes parents et pour ça, c'est moi qui lui en dois beaucoup.

Wallace, Madison × Je n'ai jamais eu beaucoup de patience pour les pré-ado, même quand j'en étais une, mais Maddie a un truc en plus des autres. J'imagine que c'est un gène porté par toute la famille Wallace, qui promet de grandes choses dans son avenir. J'aimais beaucoup passer du temps avec elle, elle est plus mature qu'elle ne le laisse paraitre. Mais à présent, j'essaie de me tenir éloignée d'elle, pour ne pas la contaminer.

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Charlie Burton

Charlie Burton


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MessageSujet: Re: Sahara Stanford Sahara Stanford Icon_minitimeSam 26 Mar - 10:07

Peut-être ma plus belle surprise de la semaine, ma plus agréable découverte.
Je savais que je ne la connaissais pas, auparavant, et bien que je disposais de plusieurs indices pour m'aider à tracer sa route, peu d'entre eux m'avaient réellement permis de percer son cœur à jour. Maintenant que c'est chose faite, je dois dire que je suis entièrement fascinée par Sahara et ses rêves. Sahara et ses démons. Sahara et son cœur en guerre, constamment. Sahara et ses convictions qui l'enracinent jusqu'au fond de la tombe.

Elle est d'une dualité hypnotique, menant un combat semblant perdu d'avance contre son cœur qui rage et sa tête qui abandonne. Le spectacle de son propre esprit ne se supportant plus et s'infligeant supplice sur privation est une torture pour moi qui souhaiterait qu'elle aille mieux, que rien de tout ceci ne lui soit arrivé, et pourtant j'en lis les événements avec un attrait presque magnétique, tant tout est bien écrit.

Le moindre de ses liens la complète et adoube tout ce que je devinais dans sa présentation pour achever le tableau de maître. Je la trouve fabuleuse dans les méandres de son esprit constamment à la recherche d'un moyen de se punir. Elle est sombre mais laisse toujours une place à la guérison, même sans le deviner. Je suis vraiment comblée d'avoir pu lire cette présentation qui a justement fait ça, très exactement : me l'a présentée. En plein jour, avec ses mots et toutes les couleurs qu'elle use, parfois à l'usure. Il me tarde de l'approcher de plus près.
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