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Melitta Bennett

Melitta Bennett


Messages : 6


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MessageSujet: » melitta « » melitta « Icon_minitimeMer 23 Mar - 11:48




MELITTA “LIV” BENNETT



ft Katrina Law
» melitta « Jy5c

Maybe I should cry for help.
Maybe I should kill myself.

rescapée ; nouvelle



» Carnet de santé «
Je suis venue dans cet hôpital, quand il y est mort un soir. J'ai caché le parchemin raturé qu''ils ont fait de ma peau et j'ai donné son nom tant de fois qu'il m'a semblé être devenu une chanson. Aucun de ces docteurs n'a su dénouer autour de lui les mains griffues de la mort, aucun d'entre eux n'a su réparer mes os quand la douleur et l'humidité m'ont laissé croire qu'ils deviendraient poussière, ils n'ont pas su recoudre ma peau avec la délicatesse qui m'aurait épargné des cicatrices par dizaines. Ils n'ont pas su me dire si je sentirais à nouveau son épaule contre la mienne.


» Son histoire «

On m’a dit qu’il me faudrait un jour dire mon histoire. La faire lire. J’ai répondu « Mais je ne sais pas écrire. », je ne peux rien raconter. « Et alors ? » ils ont dit. « Tu crois que les moutons savent compter ? »

                                      Huit ans et cinq mois
 Ils sont arrivés dans notre jardin en déchirant la haie, ils étaient trois. Je n’avais jamais vu personne entrer chez nous autrement que par la porte d’entrée. L’un d’entre eux a mis une main sur ma bouche. Sa peau sentait la cigarette et la transpiration et il m’a lâchée quand j’y ai planté mes dents. Le plus jeune a examiné ma sœur et a grimacé en voyant le plâtre qui pesait lourd sur son petit bras. J’ai couru vers elle mais n’ai entendu que son cri sous un rire quand tout est devenu noir. Quand je me suis réveillée, j’ai cru qu’il pleuvait. Mais les gouttes sur mon front tombaient d’un tuyau accroché très haut dans le plafond. J’ai voulu la boire pour que ma langue sèche me fasse moins mal mais une fillette a accroché mon bras et mes yeux de son regard noir. Elle m’a dit des mots que je ne comprenais pas. Elle m’a fait un signe. Non. J’ai essayé de lui demander son prénom. Mais elle ne comprenait pas non plus, elle m’a montré la lettre écrite sur son avant-bras. L. Comme Luna.
Très vite, ils m’ont frappée sans raison. Ils entraient dans la cage chaque jour pour n’en repartir qu’en m’ayant mise à terre. Allongée sous leurs coups, leurs salives et leurs pisses parfois. Ils me disaient des mots durs que je n’avais jamais entendus avant. Ils retenaient L en plantant leurs ongles dans ses bras pour qu’elle reste en place. Mais la plus part du temps ils l’emportaient et me laissaient seule avec les rats. Quand elle revenait, elle partageait avec moi un repas venu de nulle part.

                                      Huit ans et six mois
Un matin, ils sont entrés et m’ont choisie moi au lieu d’L. La main que j’avais mordue me tirait par les cheveux pour me faire sortir de la cage et je découvrais pour la première fois le labyrinthe de tunnels et de couloirs. Il m’a donné un coup de pied dans le dos et je suis tombée tête la première dans le sable. Il était si chaud entre mes doigts, comme celui de notre jardin où je jouais avec Luna. Le soleil est tombé sur ma peau comme une pluie de larmes. Il venait d’un grand trou dans le plafond qui éclairait le bac à sable ovale comme une trop longue ronde. Quand je me suis relevée, on a jeté un marteau sur mes pieds avant de fermer la porte et de me faire prisonnière de cris venus d’en haut. Des voix sans corps hurlaient partout au bout des murs que je ne pouvais pas voir, aveuglée par la lumière que donnait le ciel. Ils ont jeté auprès de moi deux autres fillettes aux corps tâchés par des marques violettes, noires, jaunes ou bleues. Les cris sont devenus douloureux quand, tout à l’autre bout, est entrée une autre fille par une autre porte. Elle était plus vieille que nous trois. Un de ses yeux avait l’air d’avoir été crevé il n’y a pas longtemps, comme celui du chat que je voyais passer dans notre rue de temps en temps. Elle s’est approchée de nous et a arraché le marteau que tenait la petite fille à côté de moi. Elle a frappé son épaule. Son ventre. Son crâne qui a fait un bruit me rendant malade. Quand elle s’est tournée vers nous, j’ai essayé de la retenir mais elle était plus forte, plus grande, plus méchante. Elle m’a poussée et a frappé la petite fille que mon corps cachait. J’ai tapé son genou comme ma maman tapait parfois de la viande. Elle est tombée en hurlant et m’a entrainé dans sa chute pour cogner de ses poings mon nez, mon menton et mes dents sur lesquelles elle a insisté jusqu’à ce que plusieurs tombent. Et tout s’est arrêté quand j’ai pleuré. Ils m’ont trainée jusqu’à une salle blanche où quelqu’un a essuyé mon sang et m’a dit que ça allait repousser. Ils avaient juste parié sur mes dents de lait.

                                      Huit ans et sept mois
J’ai voulu que tout ça s’arrête. Que ma famille me revienne. J’ai demandé où était ma sœur et le plus jeune m’a dit qu’elle était morte et que les animaux avaient déjà dû emporter ses restes. Il a ri et je ne l’ai pas cru, Luna était vivante, je le sentais dans mon ventre. Il nous a pris par les coudes, L et moi, un soir. Ils ne nous amenaient jamais dans l’arène le soir. Il n’y avait aucun cri en haut des murs et tout était vide. Il m’a poussée sur le sable et a laissé L et d’autres filles me regarder derrière la grille. Au fond, par l’autre porte, est arrivée une fillette de mon âge et ils nous ont dit que celle qui pourrait sortir en marchant aurait le droit de manger. Ils ont jeté un couteau devant moi. Je l’ai récupéré et l’ai lancé de toutes mes forces contre le cœur du plus jeune que j’ai eu à travers le métal. L a hurlé des choses que je n’ai pas comprises, dans sa langue qui n’était pas la mienne. Elle a pleuré et je l’ai vue avoir peur pour la toute première fois. Je lui demandais pourquoi et ils ont répondu à ma place. Cette nuit j’ai dormi serrée contre le corps sans vie de ma maman. Il était froid, il sentait mauvais et ils m’ont laissée des semaines seule avec elle.

                                      Huit ans et huit mois
L’intérieur de ma tête m’a semblé être un cauchemar où le sang remplace le vent, où les cris remplacent les rires, où la mort remplace les Anoa'i. J’ai perdu le chemin de ma vie comme une paire de ciseaux coupe un fil. Quand mes pieds ont retrouvé le sable chaud et qu’une fillette est arrivée en courant vers moi, je me suis défendue pour la première fois. J’ai voulu l’empêcher, la retenir, la calmer mais elle s’agitait  tant que je l’ai tuée par mégarde. Alors ils m’ont donné à boire, ils m’ont donné à manger, ils m’ont lavée sous un jet d’eau froide et ont griffé des lettres noires sur l’intérieur de mon bras droit. L. I. V. « Liv. » j’ai lu, et ça les a fait rire.  

                                      Quatorze ans et trois mois
Le jour, les parieurs venaient arpenter les couloirs et planter leurs papiers sur les piques de fer rouillé. L et moi avons partagé des cages voisines depuis le jour de mon tatouage. Nous avons réussi à nous parler maintenant et elle m’a dit son prénom, le vrai. Et moi le mien, avant de l’oublier. Elle m’a dit qu’elle me le rappellerait même quand je ne le saurais plus et me faisait parler de ma sœur le soir. Et elle s’endormait en parlant de la famille à qui on l’avait enlevée. Je me suis demandé s’ils étaient en vie et les miens aussi. Ce qu’ils faisaient. S’ils nous cherchaient, s’ils savaient où on était. Où est-ce que l’on était ? Toujours aux États-Unis, nous avions décidé. Mais ni elle ni moi ne pouvait dire combien de temps ils avaient transporté nos corps volés avant de les hachurer de tous leurs parjures. En grandissant, ils nous ont fait combattre souvent mais nous n’avions pas besoin de tuer pour manger. Seulement d’abîmer, de déchirer salement. Ils nous présentaient à des filles gardées dans d’autres cages, auxquelles ils avaient dit les mêmes mensonges. Et ils récoltaient leur argent sur nos dos, sur nos têtes, sur nos veines et la mort de nos enfances. Parfois, les armes étaient tirées au sort. D’autres, je faisais équipe avec une fille de mon couloir. Quelques jours certaines d’entre nous étaient mises à mort. Ils ont inventé des thèmes qu’il faisait tourner chaque semaine comme les ailes d’un moulin à vent. La première à faire saigner l'autre. La première à briser un os. À faire tomber une dent. À pousser à l'abandon. Des combats yeux bandés. Mains dans le dos. Affamées. Nues. Peintes. Sous les projectiles, les railleries, les hurlements et leurs yeux avides. L’arène, tout comme ma cage, ont commencé à me paraitre petites.
Un jour, L et moi nous sommes retrouvées côte à côte sur le sable. Mais personne n’est jamais arrivé par l’autre porte. Ils nous avaient déjà obligées à nous battre l’une avec l’autre contre deux filles en face, mais pas cette fois-ci. C’était différent et j’ai senti un froid me faire mal au fond de mon ventre. C’était un jour spécial. Et l’une d’entre nous allait mourir. Parce qu’un parieur avait donné beaucoup d’argent pour que ceci arrive. Ils nous avaient lavées pour la peine. Donné des costumes et des véritables glaives, comme dans les vieux films dont je peinais à garder vivant le souvenir. Elle a dit non dans sa langue et moi dans la mienne. « Aʻole ». Un homme est entré et a planté une fois son couteau dans mon ventre et une seconde dans celui d’L. Il nous a dit d’avoir pitié, et de finir le travail. J’ai regardé ses yeux en faisant tomber mon glaive et elle a pris ma main dans la sienne. J’ai compris sans qu’elle le dise que nous allions toutes les deux rentrer à la maison. Et peut-être que nous aurions la même où nous attendaient les gens qui nous avaient autrefois perdues et aimées. Je me suis demandé s’ils allaient me laisser pourrir dans sa cage ou l’inverse, mais ils ont préféré nous lapider toutes les deux sans faire de différence. Leurs coups, leurs cris et leurs lourds projectiles nous ont déchirés ensemble et c’est ensemble, que nous avons entamé notre longue convalescence.

                                      Seize ans et neuf mois
Ils nous ont séparées et j’ai été déplacée dans une cage tout contre le mur, dans un coin où meurent les rats. Ils nous ont faites entrer dans une nouvelle arène : un endroit où j’ai entendu de la musique pour la première fois depuis des années. J’ai su qu’L y était entrée la première quand je l’y ai retrouvée. Elle dansait à ne plus avoir mal, ne plus sentir sur elle les yeux scrutateurs des parieurs. Et tous les soirs j’ai suivi son exemple sous les bruits sourds de la musique qui tambourinait tout près de mon cœur. J’étais libre. Loin de tout, emportée par les impacts des basses sur ma peau, des chants sous mes frissons et des notes qui tissaient un fil blanc à l’intérieur de ma tête. J’étais vivante. Défaite des hurlements railleurs, des injures et des lames qui sifflaient contre ma chair des brûlures qu’une cicatrice couvrirait plus tard. Il faisait sombre, il faisait beau, dans notre antre aux cent miroirs. Parfois, très rarement, l’un d’entre eux s’ouvrait pour qu’y entre une fille que son acheteur pouvait toucher alors.

                                     Vingt-deux ans et douze mois
Un jour un homme a essayé de passer ses doigts à travers ma cage et je les lui ai brisés contre mes barreaux de fer. Mon geôlier lui les a coupés tous les deux ensuite, pour lui rappeler les règles propres à notre infini couloir. Les parieurs et parieuses n’ont jamais eu le droit de nous parler ni de nous toucher. S’ils nous voulaient, il fallait payer si fort qu’un miroir s’en irait danser aussi pour y laisser entrer une fille. Alors j’ai retenu mon souffle le matin où une voix douce s’est heurtée à ma cage. Elle était grave comme une musique. Brisée comme mes os. Belle comme le visage d’L. Elle est venue d’un homme resté dans la pénombre. Il a accroché un papier comme tous les autres mais en a laissé tomber un second à mes pieds avant de repartir. Je n’ai jamais su le lire. Il a recommencé plusieurs fois, venant plusieurs jours, reconnaissable de sa voix se mêlant aux ténèbres qui grondaient autour de ses traits inaccessibles. J’ai caché ses mots étrangers sous les rats jusqu’à ce qu’il comprenne un jour, que je ne comprenais pas. Il a pris un risque, caché dans le noir qui dévorait ses contours pour mes yeux tapis dans l’ombre. Il m’a dit « Je vais te faire sortir. » plusieurs fois, plusieurs jours, mais toujours de sa même voix chargée d’émotions sur lesquelles je n’ai pas su poser de mots. Je me battais. Saignais. Dansais. Et lui revenais murmurer qu’il ne m’oubliait pas. Et puis un jour, il m’a dit avoir trouvé le moyen de renverser le sablier qui me retenait prisonnière. Ce dernier jour, dans le couloir, sa voix m’a demandé « Est-ce que tu me fais confiance ? » et j’ai répondu « Je ne sais pas ce que ça veut dire. » à la pénombre.
Le soir même, on m’a laissé me laver et me parfumer au monoï. On m’a demandé sous la musique d’entrer derrière la porte dont le miroir s’ouvrait pour moi. Il a tremblé, quand je l’ai vu pour la première fois. J’ai aimé ses yeux sombres dont les lumières rendaient la couleur incertaine. J’ai aimé toutes les petites tâches brunes sur son nez, sous ses yeux. Il a dit « Vogue avec moi. » de sa voix douce dont le timbre a déchiré le soir. J’ai aimé sa mâchoire carrée sous sa barbe noire. J’ai aimé ses longs doigts propres et forts. J’ai laissé sa main se poser sous mon crâne, derrière ma nuque. « Il n’y a qu’un seul moyen. » J’ai hoché la tête sous ses phalanges. « Il faut les tuer, tous. » Alors on l’a fait, lui devant et moi qui suivait. Il a brisé un miroir et a partagé les morceaux entre ses mains et les miennes. On a semé la mort derrière nous, nos traces luisant de la noirceur de leur sang. La musique s’est tu quand s’est élevé dans un écho le bruit des balles. Ils avaient compris et abattaient mes sœurs comme des chiennes dans leurs enclos avant que je n’ai pu arriver à elles. Il n’y avait personne dans celle d’L. J’ai appelé son prénom. Son vrai prénom, que nul avait le droit de dire à voix haute mais n’ai reçu en retour qu’un silence que vénéraient les ténèbres. Quand la  balle est arrivée, il tenait sa main dans la mienne. Elle a dévoré nos deux épaules. Sa droite, ma gauche. Et se retournant en titubant il a abattu celui qui nous avait unis par le sang. Il a lâché l’arme prise plus tôt à une dépouille et m’a guidée jusqu’à une porte d’acier dont j’ai tracé la route afin qu’L me retrouve. Il m’a guidée jusqu’à me rendre le ciel et ses nuages. Gris sur noirs, ils étaient là et la mort aussi. Elle pesait sur mon cœur comme les coups qu’ils ont martelé sur mon corps d’enfant. Je me suis effondrée, vidée de tout mon sens. On m’a soignée pendant que je dormais. À mon réveil, sa voix m’a dit « Comment tu t’appelles ? »

                                     Vingt-trois ans
J’ai donné le prénom que mes parents m’avaient choisi, au tout début de ma vie. Son bruit sur ma langue m’a paru étrange. Il l’a répété jusqu’à me le rendre entier. M’a dit s’appeler Bennett. Il m’a soignée, m’a baignée, m’a protégée et fait découvrir tant de mondes, à commencer par le sien dont je me suis éprise avec toute la sincère innocence qui, d’après lui, m’a maintenue en vie jusqu’à présent. Il m’a dit m’aimer. Et me l’a dit souvent. Il m’a donné des papiers avec ma photo et son nom. Son nom de famille, qu’il a bien voulu partager. J’avais oublié le mien depuis longtemps. Et il était toute ma famille au monde. Sa cicatrice touchait la mienne quand il me faisait danser épaule contre épaule. Je lui ai parlé d’L et il a dit qu'il aurait aimé qu'on la retrouve ensemble. Quelque chose me l’a enlevé comme j’ai été prise aux bras de mes parents il y a longtemps. Mon sauveur est mort, on me l’a pris comme tous les autres. Mais je sais que son amour est vivant, je le sens dans mon ventre. Le temps passe et j’attends. Je tente, je brûle, je danse. Je cherche à apprendre. Et pour la première fois au soleil, découvre la vie sans ange.


» Liens & Accointances «

Bennett × Le souverain à qui mon cœur a juré une immortelle allégeance sans qu'il n'ait jamais à la réclamer. Il m'a appris quelques premiers secrets du monde et à déchiffrer des lignes que j'ai su comprendre. Il m'a appris des mots que je retiens et d'autres qui filent encore entre mes doigts. J'ai cherché à battre sa maladie partout, maladroite dans le ventre de ce géant qui m'a avalée il y a bien longtemps. J'attends le jour où il cessera de manquer à mes mains le matin, à ma tête à chaque heure et son appartement froid le soir. J'aurais voulu le sauver à mon tour, j'aimerais le rendre au monde comme il m'a rendue à la lumière du jour.

L × J'aimerais découvrir auprès d'elle les mœurs de cette ville qui me dépassent. J'aurais voulu avoir tenu sa main dans la mienne ou porter son corps jusque sous les nuages afin qu'elle aussi puisse sentir la pluie l'honorer de toutes ses larmes. Mon cœur contraint ma tête à croire qu'elle vit encore. Qu'elle a su suivre mon sang la menant jusqu'à la porte. J'aimerais pouvoir dire son prénom et l'entendre dire le mien sans la peur au ventre. Et retrouver sa trace.

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Ashley Wallace

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MessageSujet: Re: » melitta « » melitta « Icon_minitimeLun 4 Avr - 0:41

J'ai comme un vide au creux de l'estomac en lisant cette présentation. Je connaissais Melitta, mais les horreurs qu'elle a vécu sont tellement vivantes dans ses mots. Je suis profondément choquée, et voudrais vraiment qu'elle retrouve son Eros et L. C'est pas juste qu'àprès tout ce qui lui soit arrivé, elle n'ait pas le droit à un peu de sérénité.
Melitta est une merveille, une vraie gladiatrice. J'ai l'impression que malgré la perte de son innocence aux mains de ses bourreaux, elle a gardé une certaine candeur. J'espère qu'elle aura vite tout ce qu'elle mérite.
Félicitations, Warreniste <3
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Melitta Bennett

Melitta Bennett


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MessageSujet: Re: » melitta « » melitta « Icon_minitimeLun 4 Avr - 0:46

Je l'ai déjà dit mais, pour que ça reste : merci cent fois, et de tout mon cœur ♥
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MessageSujet: Re: » melitta « » melitta « Icon_minitime

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